« MATH203 : Introduction à l'algèbre » : différence entre les versions
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::## lb<sub>p+1</sub>z<sup>p+1</sup>+...+b<sub>n</sub>z<sup>n</sup>l ≤ lz<sup>p</sup>l(lb<sub>p+1</sub>zl+lb<sub>p+2</sub>z<sup>2</sup>l+...+lb<sub>n</sub>z<sup>n-p</sup>l) or lb<sub>p+1</sub>zl ≤ lb<sub>p</sub>/(2n)l si lzl ≤ lb<sub>p</sub>/(2b<sub>p+q</sub>n)l ... lb<sub>p+q</sub>z<sup>q</sup>l ≤ lb<sub>p</sub>/(2n)l si lzl ≤ min(1,lb<sub>p</sub>/(2nb<sup>p+q</sup>l), c'est à dire lb<sub>p/1</sub>z<sup>p+1</sup>+...+b<sub>n</sub>z<sup>n</sup>l ≤ lb<sub>n</sub>z<sup>p</sup>l/2 si lzl ≤ min(1,lb<sub>p</sub>/(2nb<sup>p+1</sup>)l,...lb<sub>0</sub>/b<sub>q</sub>l)=r. |
::## lb<sub>p+1</sub>z<sup>p+1</sup>+...+b<sub>n</sub>z<sup>n</sup>l ≤ lz<sup>p</sup>l(lb<sub>p+1</sub>zl+lb<sub>p+2</sub>z<sup>2</sup>l+...+lb<sub>n</sub>z<sup>n-p</sup>l) or lb<sub>p+1</sub>zl ≤ lb<sub>p</sub>/(2n)l si lzl ≤ lb<sub>p</sub>/(2b<sub>p+q</sub>n)l ... lb<sub>p+q</sub>z<sup>q</sup>l ≤ lb<sub>p</sub>/(2n)l si lzl ≤ min(1,lb<sub>p</sub>/(2nb<sup>p+q</sup>l), c'est à dire lb<sub>p/1</sub>z<sup>p+1</sup>+...+b<sub>n</sub>z<sup>n</sup>l ≤ lb<sub>n</sub>z<sup>p</sup>l/2 si lzl ≤ min(1,lb<sub>p</sub>/(2nb<sup>p+1</sup>)l,...lb<sub>0</sub>/b<sub>q</sub>l)=r. |
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::## Si on prend lzl=r, z=re<sup>i θ </sup> et b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>=-b<sub>0</sub>C où C ∈ lR<sub>+</sub>. b<sub>p</sub>(re<sup>i θ </sup>)<sup>p</sup>=-b<sub>0</sub>C, e<sup>i θ </sup>=-cb<sub>0</sub>/(r<sup>p</sup>b<sub>p</sub>)=Ke<sup>i ω </sup>. Pour que K=1, on prend lCl=lr<sup>p</sup>b<sub>p</sub>/b<sub>0</sub>l. D'où z=re<sup>i arg(-b<sub>0</sub>/b<sub>p</sub>)/p</sup>. |
::## Si on prend lzl=r, z=re<sup>i θ </sup> et b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>=-b<sub>0</sub>C où C ∈ lR<sub>+</sub>. b<sub>p</sub>(re<sup>i θ </sup>)<sup>p</sup>=-b<sub>0</sub>C, e<sup>i θ </sup>=-cb<sub>0</sub>/(r<sup>p</sup>b<sub>p</sub>)=Ke<sup>i ω </sup>. Pour que K=1, on prend lCl=lr<sup>p</sup>b<sub>p</sub>/b<sub>0</sub>l. D'où z=re<sup>i arg(-b<sub>0</sub>/b<sub>p</sub>)/p</sup>. |
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::## Q(z)=b<sub>0</sub>+b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>+ ε avec ε ≤ lb<sub>p</sub>z<sup>p</sup>/2l. D'où b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>=b<sub>p</sub>r<sup>p</sup>e<sup>i arg(-b<sub>0</sub>/b<sub>p</sub>)</sup>=-lb<sub>p</sub>lr<sup>p</sup>e<sup>i arg(b<sub>0</sub>)</sup>. D'où Q(z)=(lb<sub>0</sub>l-lb<sub>p</ |
::## Q(z)=b<sub>0</sub>+b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>+ ε avec ε ≤ lb<sub>p</sub>z<sup>p</sup>/2l. D'où b<sub>p</sub>z<sup>p</sup>=b<sub>p</sub>r<sup>p</sup>e<sup>i arg(-b<sub>0</sub>/b<sub>p</sub>)</sup>=-lb<sub>p</sub>lr<sup>p</sup>e<sup>i arg(b<sub>0</sub>)</sup>. D'où Q(z)=(lb<sub>0</sub>l-lb<sub>p</sub>r<sup>p</sup>l)e<sup>i arg(b<sub>0</sub>)</sup>+ε, soit Q(z) ≤ (lb<sub>0</sub>l-lb<sub>p</sub>r<sup>p</sup>l)e<sup>i arg(b<sub>0</sub>)</sup>+lεl ≤ lb<sub>0</sub>l-lb<sub>p</sub>r<sup>p</sup>l+lεl<lb<sub>0</sub>l<m |
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'' Conclusion '': P a une racine z<sub>0</sub> telle que lQ(0)l=lP(z<sub>0</sub>-l)l=m=0, c'est à dire que P a une racine z<sub>0</sub>=l ∈ D. |
'' Conclusion '': P a une racine z<sub>0</sub> telle que lQ(0)l=lP(z<sub>0</sub>-l)l=m=0, c'est à dire que P a une racine z<sub>0</sub>=l ∈ D. |
Version du 9 mars 2008 à 21:13
Que sont les mathématiques
En mathématique on étudie les propriétés d'objets tels que les nombres, les droites, ... Ces objets sont dénotés par des "expressions" comme
- x^2 - 1,
- Le milieu du segment [A,B],
- f est continue.
Chaque domaine des mathématiques possède son propre "voacabulaire" pour écrire des expressions et ce vocabulaire est introduit dans chacun de vos cours.
L'égalité joue un rôle particulier en mathématique car elle est "subtitutive" : si deux expressions a et b sont égales, on peut remplacer a par b dans toute expression sans en changer la valeur. Il faut tout de même faire attention aux variables liées. Considérons l'exemple suivant:
Soit y un réel et x = y + 2, on a donc x - y = 2. Pour , définissons la fonction f(x) = x^2 - y^2 = (x - y)(x + y). On a donc pour tout f(x) = 2(x + y) (pour un x particulier).
On a commis une erreur car x est une variable liée dans la seconde phrase. On peut toujours changer le nom des variables liées et écrire
Soit y un réel et x = y + 2, on a donc x - y = 2.
Pour , définissons la fonction f(z) = z^2 - y^2 = (z - y)(z + y).
On a donc f(x) = 2(x + y).
Parmis les expressions certaines sont des "énoncés", c'est à dire des expressions dont la valeur est vraie ou fausse comme
- x^2 - 1 = (x - 1)(x + 1)
- Les trois droites sont concourantes
- Toute fonction continue est dérivable (cet énoncé est faux, mais on peut l'écrire !)
Les mathématiques ont pour objet de découvrir quels énoncés sont vrais en partant uniquement "d'axiomes" qui sont des énoncés que l'on adment comme vrais dans un domaine donné des mathématiques.
Tous les énoncés mathématiques peuvent être ecrit en utilisant les "briques" de construction suivantes :
- Des énoncés atomiques propre à chaque domaine des mathématique comme , "f est continue", ... Attention: certains énoncés atomiques peuvent être transformés en énoncés plus complexe en faisant appel à une définition (c'est le cas de "f est continue").
- l'implication : notée , , A implique B, A est une condition suffisante pour B, B est une condition nécessaire pour A, si A alors B, ...
Attention, l'implication mathématique est très différente de l'implication en langage courant qui contient souvent une relation de cause à effet voire qui exprime une équivalence : "si tu ne mange pas ta soupe tu n'aura pas de déssert" est une équivalence en langue naturelle.
est faux uniquement si A est vrai et B est faux. Dans les trois autres cas, l'implication mathématique est vraie. Pour ce persuader que c'est cela qu'il faut faire, considérer l'énoncé suivant (qui est bien vrai ?) :
Si n est divisible par 4 alors n est pair
- Pour n = 2 on obtient "Faux implique Vrai"
- Pour n = 3 on obtient "Faux implique Faux"
- Pour n = 4 on obitent "Vrai implique Vrai"
- La conjonction : notée "A et B", "", ... Le sens devrait être clair
- La disjonction : notée "A ou B", "", ... C'est le ou usuel. A ou B est vrai si l'un des deux enoncés au moins est vrai. Il ne faut pas le confondre avec le "ou exclusif", utilisé en informatique, et qui est faux lorsque les deux énoncés sont vrais en même temps.
- La négation : notée "non A", "A est faux", "il est faux que A", "", ... On a non A est vrai si et seulement si A est faux et donc aussi non A est faux si et seulement si A est vrai.
- L'équivalence : notée "A équivalent à B", "A si et seulement si B", "A est une condition nécessaire et suffisante pour B", "", "". "" peut être défini comme "(A implique B) et (B implique A)".
- La quantification universelle : notée "pour tout x A", "on a A pour tout x", "quelque soit x A", , ... Le sens devrait être clair, mais attention la manipulation des quantificateurs est difficile en pratique.
- La quantification existentielle : notée "il existe x tel que A", "on a A pour au moins un x", "on peut trouver un x tel que A", , ... Le sens devrait être clair, mais attention la manipulation des quantificateurs est difficile en pratique.
Qu'est-ce qu'une preuve
- Définitions :
- Une preuve est un texte pour convaincre constitué d'une suite d'étapes telles qu'à chacune d'elles, on a :
- des connaissances : liste d'objets connus, de théorèmes, d'hypothèses locales au problème
- un but à démontrer
- Pour passe d'une étape à l'autre, on peut :
- chercher à simplifier le but/le diviser
- utiliser des connaissances pour progresser (montrer le but, obtenir de nouvelles connaissances, faire un lemme...)
- 6X2+2+... briques de bases :
- Si le but est dans la liste des connaissances ou si A et ¬ A sont dans les connaissances, alors la preuve est finie.
- 6X2 briques de bases:
- Montrer que A=>B : Ajouter A aux hypothèses et montrer B / Utiliser que A=B : Démontrer A pour pouvoir ajouter B aux connaissances
- Montrer que A et B : Deux preuves dont l'ordre n'a pas d'importance / Utiliser que A et B : Rajouter A et B aux connaissances, et utiliser l'une et/ou l'autre
- Montrer que A ou B : On montre A ou B, au choix / Utiliser que A ou B : Raisonner par disjonction de cas, on a alors deux preuves; rajouter A aux connaissances et montrer le but et rajouter B dans les connaissances et montrer le but
- Montrer que ¬ A : Supposer A et chercher une contradiction / Utiliser que ¬ A : Montrer A et en déduire une contradiction
- Montrer que ∀ x, A : Montrer A pour un x quelconque / Utiliser que ∀ x, A : Prendre le x qui nous intéresse et supposer A(x).
- Montrer que ∃ x, A : Montrer A pour un x bien choisi / Utiliser que ∃ x, A : Prendre un nouveau x et supposer A(x)
- Démonstration par l'absurde : Si le but est A, alors on suppose ¬ A et on cherche une contradiction (particulièrement fréquent pour montrer un ou , ∃ , ou un énoncé atomique .
- Il existe d'autres briques propres au domaine dans lequel on se place ( exemple : preuve par récurrence en arithmétique)
Ensembles, Fonctions, Relations
- Théorie des ensembles
- Schéma de compréhension
- Paradoxe de Russel
- Construction des ensembles
- Inverse d'une relation R
- Fonction de A dans B
- Application de A dans B
- Restriction
- Image directe
- Image réciproque
- Inclusion
- Injection
- Surjection
- Bijection
- Composition
- Relation d'ordre large
- Relation d'équivalence
- Quotients
- Définition
- Classe d'équivalence
- Propriétés
- Q={(n,d) l n∈Z, d∈lN*}
- Relever une opération sur le quotient
- Loi interne
Arithmétique
- Récurrence
- Principe
- Récurrence généralisée
- Division euclidienne
- Définition
- Preuve de l'existence et de l'unicité par récurrence sur p ≥ 0
- Divisibilité
- PGCD
- Signification
- Preuve de l'existence
- Algorithme d'Euclide
- Propriétés
- Description
- Autre algorithme
- Théorème de Bezout
- Enoncé
- Preuve
- Corollaire
- Réciproque
- Théorème de Gauss
- Enoncé
- Preuve
- Nombres premiers et décomposition
- Définition
- Corollaire du théorème de Gauss
- Théorème de décomposition
Arithmétique modulaire
- Définition de la congruence modulo n
- Congruence : relation d'équivalence
- Notation : a≡nb a≡b(mod n) a=b(mod n)
- a≡nb ⇔ b-a est un multiple de n
- a≡nb ⇔ a%n=b*n
- Z/nZ est le quotient de Z par la relation d'équivalence modulo n.
- a≡na%n
- Z/nZ={0,1,2,...,n-1} est un ensemble fini à n éléments.
- Z/nZ est un anneau commutatif non intègre. Tout élément non nul de Z/nZ est inversible si et seulement si n est premier. On note alors Z/mZ=Z/pZ.
- Petit théorème de Fermat
- Enoncé : si est premier. Ceci peut aussi s'écrire
mais il faut alors que ne divise pas .
- Preuve : Dans (Z/pZ-{0},X) groupe à p-1 éléments, on veut montrer que ap-1=1(mod p).
- ∃ m tel que am=1. {an/n ∈ Z} est un sous groupe de Z/pZ fini, d'où ∃ n' tel que an=an' or p est premier donc an' a un inverse. D'où an-n'=1 ou an'-n=1.
- Montrons que le plus petit n tel que an=1 divise p-1 (théorème de Lagrange). On partitionne Z/pZ en une famille d'ensembles de même cardinal que {an}, tout élément de Z/pZ peut s'écrire sous la forme α a θ .
- La donnée d'une telle partition revient à donner une relation d'équivalence sur Z/pZ : β R γ ⇔ ∃ e ∈ Z tel que β = γ α e.
- R est réflexive : β=β α 0 d'où β R β
- R est symétrique : ∃ e tel que β = γ α e donc γ=βα-e car α est inversible, d'où si β R γ alors γ R β
- R est transitive : ∃ e,f tels que β = γ α e et γ=δ &alpha:f implique β = δ α e+f, donc si β R γ et γ R δ alors β R δ
- 1={1,a,a2,...an-1}=A et b={b,ab,a2b,...an-1b}=B. Soit f:A→B telle que f(x)=xb, f-1(x)=xb-1. fof-1=id et f-1of=id donc f est bijective. Il en résulte que chaque classe est de taille n, d'où n l p-1.
- La donnée d'une telle partition revient à donner une relation d'équivalence sur Z/pZ : β R γ ⇔ ∃ e ∈ Z tel que β = γ α e.
- n l p-1 ⇒ ∃ q ∈ Z tel que p-1=qn et an=1 ⇒ ap-1=aqn=(an)q=1
Compléments sur les polynômes
- FTA ou théorème de d'Alembert :
- Enoncé : Tout polynôme de degré supérieur ou égal à 1 à coefficients dans C a au moins un racine dans C.
- Preuve :
- Soient un polynôme à coefficients dans C[z] et f:C → lR telle que f(z)=lP(z)l
- Montrons que P admet une racine dans C.
- Montrons que :
- On a , or labl=lallbl, d'où :
or la+bl ≥ llal-lbll, d'où :
- Cherchons R tel que si lzl>R alors :
- lan-1/zl<lan/2nl si lzl>l2n an-1/anl ... la0/znl<la0/zl<lan/(2n)l si lzl>max(1,l2n a0/anl), c'est à dire lap/zn-pl<lap/zl<lan/(2n)l si lzl>max(1,l2n ap/anl) ∀ p ∈ [lO;nl[. Donc si lzl>max(1,l2n a0/anl,...,l2n an-1/anl)=R alors .
- D'où si lzl>R, alors f(z)>lznlllanl-llan/2ll, soit
- Cherchons z tel que ∀ M, f(z)>M. Il suffit que lzl>R et lzln>lzl> 2M/lanl. D'où si alors f(z)>M, c'est à dire .
- Cherchons R tel que si lzl>R alors :
Graphiquement : Soit D={z/ lzl<r}, pour tout z n'appartenant pas à D f(z)>M. En particulier, il n'existe pas z n'appartenant pas à D tel que f(z)=0; z ≥ r n'est pas une racine.
- Montrons qu'il existe z0 ∈ D tel que f atteint son minimum en z0.
- f(D) ⊂ lRsub>+ donc f(D) est une partie de lR minorée par 0. Par l'axiome de la borne inférieure, f(D) admet une borne inférieure.
- Montrons que Inf(f(D)) est atteinte.
- C est compact donc on peut trouver une suite z0, z1... ∈ D telle que f(zn) tend vers Inf(f(D)) quand n tend vers + ∞ .
- f est une fonction continue car P(z) est continue, et z → lzl est continue?
- . Soit m=Inf(f(D)) et soit , f(l)=m et l ∈ D. f atteint son minimum en l ∈ D.
- Montrons par l'absurde que m=Inf(f(D))=f(l)=0, c'est à dire trouvons z tel que lP(z)l<m alors que par hypothèse c'est impossible. Supposons que P n'a pas de racine. Posons Q(z)=P(z-l) et g(z)=f(z-l)=lQ(z)l.
- g atteint son minimum en 0. Q(z)=b0+bpzp+...+bnzn où bp est le plus petit coefficient non nul autre que b0 ≠ 0, et lb0l=m.
- On cherche z tel que bpzp=-b0C où C ∈ lR+ ⇔
- lbp+1zp+1+...+bnznl ≤ lzpl(lbp+1zl+lbp+2z2l+...+lbnzn-pl) or lbp+1zl ≤ lbp/(2n)l si lzl ≤ lbp/(2bp+qn)l ... lbp+qzql ≤ lbp/(2n)l si lzl ≤ min(1,lbp/(2nbp+ql), c'est à dire lbp/1zp+1+...+bnznl ≤ lbnzpl/2 si lzl ≤ min(1,lbp/(2nbp+1)l,...lb0/bql)=r.
- Si on prend lzl=r, z=rei θ et bpzp=-b0C où C ∈ lR+. bp(rei θ )p=-b0C, ei θ =-cb0/(rpbp)=Kei ω . Pour que K=1, on prend lCl=lrpbp/b0l. D'où z=rei arg(-b0/bp)/p.
- Q(z)=b0+bpzp+ ε avec ε ≤ lbpzp/2l. D'où bpzp=bprpei arg(-b0/bp)=-lbplrpei arg(b0). D'où Q(z)=(lb0l-lbprpl)ei arg(b0)+ε, soit Q(z) ≤ (lb0l-lbprpl)ei arg(b0)+lεl ≤ lb0l-lbprpl+lεl<lb0l<m
Conclusion : P a une racine z0 telle que lQ(0)l=lP(z0-l)l=m=0, c'est à dire que P a une racine z0=l ∈ D.